Cialis 20mg prix en pharmacie belgique

 cialis 20mg prix en pharmacie belgique

Cialis Gé, Tadalafil 20mg, 8 comprimés (Cialis® générique)

Date de disponibilité:

Indications conseils d'utilisation Composition.

Pour acheter ce médicament au prix indiqué, merci de vous rendre à l'adresse suivante, muni de votre ordonnance en règle:

PHARMACIE ZEMIRO.

Centre Commercial Bel Est.

28, Avenue du Général de Gaulle.

93170 Bagnolet (métro ligne 3 Station GALLIENI, ou accès en voiture par le parking du Centre Commercial Bel Est)

Tadalafil 20mg est inscrit comme générique de la spécialité Cialis®, et est un médicament utilisé dans le traitement des hommes présentant des troubles de l'érection, ce qui correspond à l'incapacité d'obtenir ou de maintenir une érection du pénis suffisante pour une activité sexuelle satisfaisante.

Réservé à l'homme adulte.

Se référer à la notice d'utilisation.

Prix moins cher : 7,99€

Retrouvez Tadalafil 20mg, 8 comprimés (Cialis® générique) au meilleur prix dans la Pharmacie Zemiro à Bagnolet, située aux portes de Paris.

Posologie, Mode et/ou voie(s) d'administration, Fréquence d'administration et Durée du traitement.

Posologie Homme adulte D'une manière générale, la dose recommandée de CIALIS est de 10 mg à prendre avant toute activité sexuelle prévue, pendant ou à distance des repas. Chez les patients pour lesquels une dose de 10 mg de tadalafil ne produit pas un effet suffisant, une dose de 20 mg peut être préconisée. CIALIS peut être pris au moins 30 minutes avant toute activité sexuelle. La fréquence d'administration maximale est d'une prise par jour. Le tadalafil 10 mg et le tadalafil 20 mg sont indiqués en prévision d'un rapport sexuel mais ils ne sont pas recommandés pour une utilisation quotidienne prolongée. Chez les patients qui prévoient un usage fréquent de CIALIS (au moins deux fois par semaine), la prise d'un comprimé par jour, avec des doses plus faibles de CIALIS peut être considérée comme adéquate, la décision dépendant du choix du patient et de l'avis du médecin. Chez ces patients, la posologie recommandée est de 5 mg en prise quotidienne, approximativement au même moment de la journée. La dose peut être réduite à 2,5 mg en prise quotidienne, en fonction de la tolérance individuelle. Le choix de la posologie quotidienne doit être réévalué périodiquement. Populations particulières Hommes âgés Aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les hommes âgés. Hommes atteints d'insuffisance rénale Aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients atteints d'insuffisance rénale légère à modérée. Chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère, la dose maximale recommandée est 10 mg. Une prise quotidienne de tadalafil n'est pas recommandée chez ces patients atteints d'insuffisance rénale sévère (voir rubriques Mises en garde et précautions d'emploi et Propriétés pharmacocinétiques). Hommes atteints d'insuffisance hépatique La dose recommandée de CIALIS est de 10 mg à prendre avant toute activité sexuelle prévue, pendant ou en dehors des repas. Chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh, classe C), les données cliniques de tolérance sont limitées , de ce fait, en cas de prescription de CIALIS, une évaluation individuelle attentive du rapport bénéfice/risque devra être effectuée par le médecin prescripteur. Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique, aucune donnée n'est disponible sur l'administration de doses supérieures à 10 mg de tadalafil. La prise quotidienne n'a pas été évaluée chez les patients atteints d'insuffisance hépatique , par conséquent, le médecin devra procéder à une évaluation individuelle attentive du rapport bénéfice/risque après la prescription (voir rubriques Mises en garde et précautions d'emploi et Propriétés pharmacocinétiques). Hommes atteints de diabète Aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients diabétiques. Population pédiatrique L'utilisation de CIALIS dans le traitement de la dysfonction érectile dans la population pédiatrique n'est pas justifiée. Mode d'administration CIALIS est disponible en comprimés pelliculés dosés à 2,5, 5, 10 et 20 mg pour une utilisation par voie orale.

Médicament délivrable sur ordonnance (manuscrite, numérique type Zava, Feeli, Qare)

Médicament similaire aux génériques de Biogaran, Lilly.

CIALIS contient une substance active, le tadalafil, qui appartient à un groupe de médicaments appelés inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5. CIALIS 5 mg est indiqué chez l’homme adulte ayant : - une dysfonction érectile, c’est-à-dire quand un homme ne peut atteindre ou conserver une érection suffisante pour une activité sexuelle. Il a été montré que CIALIS améliorait significativement la capacité à obtenir une érection ferme du pénis nécessaire à une activité sexuelle. A la suite d’une stimulation sexuelle, CIALIS agit en aidant la relaxation des vaisseaux sanguins de votre pénis, favorisant ainsi l’afflux sanguin. Il en résulte une amélioration de l’érection. CIALIS ne vous aidera pas si vous n’avez pas de problème d’érection. Il est important de savoir que CIALIS n’agit pas s'il n’y a pas de stimulation sexuelle. Vous et votre partenaire devrez engager les préliminaires comme vous le feriez si vous ne preniez pas de médicament pour votre problème d’érection. - des symptômes urinaires associés à une pathologie fréquente dénommée hypertrophie bénigne de la prostate, qui survient avec l’âge et dans laquelle le volume de la prostate augmente. Les symptômes sont notamment des difficultés pour commencer à uriner, la sensation que la vessie n’est pas complètement vide après avoir uriné et un besoin plus fréquent d’uriner, même la nuit. CIALIS améliore l’afflux sanguin vers la prostate et la vessie dont il relâche les muscles, ce qui peut réduire les symptômes de l’hypertrophie bénigne de la prostate. Il a été montré que CIALIS améliore ces symptômes urinaires entre la 1ère et la 2ème semaine après le début du traitement.

Le coeur du road trip, la voiture – conseils pratiques.

Qui dit roadtrip dit… voiture. A la lumière de nos expériences de ces dernières années (plus de 40 000 km sur le continent nord-américain, 28 états traversés), je vais essayer de condenser dans une seule chronique toutes les infos pratiques pour se servir d’une voiture aux Etats-Unis . Il sera remis à jour régulièrement. C’est parti.

C’est bien sûr la première étape. Une fois vos billets d’avion achetés, il est temps de réserver votre carrosse. Généralement, nous le faisons quatre à six mois avant le trip.

Quel loueur ?

Vous aurez l’embarras du choix, soit en passant par des courtiers basés en Europe, soit en réservant directement auprès des loueurs américains. Pour ma part, j’ai testé plusieurs services ces dernières années, sans problème particulier : BSP Auto, Ebookers et Alamo.com directement. Les tarifs étaient bons (Alamo a souvent les meilleurs) et je n’ai pas eu de problème de réception ou de rendu. A titre personnel, je préfère voir directement avec les sites des loueurs , plutôt que de rajouter un intermédiaire. A vous de guetter les différentes promotions limitées dans le temps et qui pourraient vous faire gagner quelques dollars. Et surtout, comparez, comparez, comparez…

Mise à jour (1/3/13) : une lectrice (merci Amélie) m’a recommandé très justement de consulter les avis sur yelp.com. Pas des loueurs mais des agences en particulier (ex: Alamo à Phoenix) pour voir si le service est à la hauteur.

Les principaux loueurs américains > Hertz > Alamo ( Alerte bon plan : Alamo propose 10 % en ce moment pour les locations aux USA – cliquez sur le lien) > Dollar > Avis > Budget > Sixt > Thrifty > National.

Quelques courtiers.

Quelle voiture choisir ?

C’est une question de budget mais aussi de confort. Si vous comptez rouler beaucoup, prendre quelques pistes (sinon la plupart des parcs nationaux se font bien avec une voiture classique), misez sur un Mid-size SUV (type Ford Escape ou Jeep Liberty) . Les loueurs proposent aussi des petites voitures beaucoup moins chères, des berlines, des monospaces, des grand 4×4 et des voitures de sport (Mustang).

Il faut bien s’assurer que l’option « kilomètres illimités » soit bien inscrite. Prévoyez toujours large pour vos bagages, une glacière et pouvoir ranger facilement votre bordel. Et dites vous bien une chose, la taille de la voiture n’est pas un problème aux Etats-Unis. Les routes sont plus larges, les places de parking aussi. Un SUV est simplement la norme, la boîte automatique également….

Raccourcir vos dates.

Voilà aussi qui pourra influer sur la note à payer. Faut-il prendre la voiture dès l’aéroport ? Faut-il attendre ? Nous faisons toujours le choix de débuter dans une ville qui se fait bien à pied ( Seattle, San Francisco ) pour nous épargner quatre ou cinq jours de location. Idem à la fin du voyage. Nous préférons le taxi pour plus de tranquillité avant de prendre notre avion. De plus, les agences de centre-ville sont souvent bien plus calmes que celles des aéroports. Qui a envie de se taper une heure de queue après 12 heures de vol ? Autre chose, si c’est votre premier voyage aux Etats-Unis, se mettre à la conduite de nuit, après un voyage usant, dans une ville que l’on ne connaît pas, n’est pas forcément une bonne manière de débuter.

Attention aux frais.

Plusieurs choses dans cette partie. Au guichet, le loueur va tenter de vous proposer des tas d’options : assurances, GPS, conducteur supplémentaire, surclassement (un coup classique, pour quelques dollars de plus, qui peut être intéressant), parfois conducteur de moins de 25 ans, etc… Si vous avez fait le nécessaire à la location avec un kilométrage illimité, si vous avez votre propre GPS avec une carte américaine (je prends toujours le mien), si vous ne voulez pas profiter d’un surclassement à moindre coût, passez votre chemin.

Autre point : vous allez prendre la voiture avec un réservoir plein. Et devrez la rendre avec un réservoir plein. Trois possibilités : vous le faites vous-mêmes (bien vérifier le prix des stations près de votre lieu de retour), vous le prépayez auprès de votre loueur (un peu au-dessus du marché) ou vous oubliez et là, ils ne vont pas vous rater avec un gallon à un prix prohibitif (5 à 6 dollars). Donc attention.

Attention surtout aux frais d’abandon (lorsque vous lâchez la voiture dans une autre ville que celle dans laquelle vous l’aviez prise) ! En prenant la voiture à Seattle et en l’amenant à Miami (elle avait une plaque de New York ) , le loueur surfacture des frais d’abandon d’un montant de 500 dollars (payables à l’arrivée). Ils ne s’appliquent pas si vous déposez la voiture dans le même état (exemple : boucle LA-San Francisco). Sinon, ces frais, qui varient selon les parcours, sont à prendre en compte dans votre budget.

Mise à jour (15/2/13) : J’ai trouvé quelques informations sur les frais d’abandon chez un loueur. Ceci peut servir de point de départ même si cela ne s’applique pas à tous. Pas de frais d’abandon en Californie (exemple : San Diego-SF ) et en Floride (ex : Miami-Orlando ). Pas de frais entre Californie, Nevada et Arizona (ex : Los Angeles – Las Vegas ) ou à l’intérieur de ces deux derniers états (ex : Flagstaff-Phoenix ). Dans tous les autres cas, des frais vous seront facturés. Selon cette base : 0-200 Miles : $99 USD 201-500 Miles: $150 USD 501-1000 Miles: $300 USD 1001 et plus Miles: $500 USD.

Ps : il est interdit de fumer dans les voitures de locations. Là aussi, attention aux frais de nettoyage.

Quand la rendre ?

Voilà une petite astuce. Les loueurs fonctionnent par tranches de 24 heures (logique) mais à partir de midi. Ainsi, si vous avez prévu de rendre votre bolide à 17 heures et que vous avez raté le coche, vous ne paierez pas de supplément si vous le rendez le lendemain avant midi. Bon à savoir. Bon, à chaque fois, nous avons rendu la voiture un jour et demi plus tard. Le loueur applique 80 à 100 dollars de supplément par jour de retard. Est-il nécessaire de prévenir de votre retard ? Sincèrement, non. Sauf si celui-ci dépasse les deux ou trois jours.

Autre solution : l’autopartage.

(Mise à jour : 6/11/2013) Passer outre les loueurs traditionnels, c’est possible en faisant appel à l’autopartage avec FlightCar (aéroports de San Francisco et Boston) ou RelayRides. Et c’est moins cher. Voir notre chronique sur FlightCar pour les modalités.

Essence.

Quel essence ? Quel prix ? Quelle consommation ?

Contrairement à la France, la norme, aux Etats-Unis, c’est le regular et l’unité de mesure n’est pas le litre mais le gallon (3,78 litres). Même si la tendance est à la hausse, l’essence est bien meilleur marché aux states qu’ici. Mais leurs voitures consomment plus.

En ce moment, les prix oscillent entre 3 et 4 dollars le gallon (entre 2,3 euros et 3 euros, les 3,8 litres !). Votre meilleur ami pour budgéter votre voyage (trip calculator) et repérer les stations les moins chères est le site gasbuddy . Une mine. Attention, le prix de l’essence dans les parcs nationaux ( Yellowstone, Big Sur, Yosemite… ) s’envole. Toujours prévoir de faire le plein avant d’y rentrer.

Ou trouver les stations ?

Sur les autoroutes, pas d’aires comme nous connaissons ici. Il faut sortir, et se diriger vers les villes les plus proches. Tout est indiqué avant les sorties : stations d’essence, motels, restaurants, activités… En revanche, vous trouverez des « rest areas », des aires de repos avec toilettes, documentations, distributeurs de boissons… Il y a une tonne de stations différentes mais sur certaines zones, elles peuvent se faire plus rares. Le GPS, là aussi, peut être votre ami.

Comment se servir ?

Autre question. Peu d’automates comme nous avons ici. Là-bas, il faut souvent payer d’abord (créditer la pompe) et se servir ensuite. Vous garez le monstre, allez au guichet en ayant pris le nécessaire (boissons, nourriture), vous donnez tout en spécifiant » and 30 dollars gas on the pump 4 » (Et 30 dollars d’essence sur la pompe 4). Elle est créditée. Après, c’est du classique : le choix de l’essence (souvent unleaded ou regular), le bouchon, le pistolet, à la différence que vous pouvez bloquer le pistolet avec un petit loquet qui sautera une fois le montant atteint. Pratique pour pouvoir laver votre pare-brise au même moment. A noter que certaines pompes ont un levier (sous le pistolet) qu’il faut relever pour pouvoir se servir.

Dernier conseil : pour jauger votre réservoir (si vous n’avez pas les infos techniques de la voiture), allez y mollo la première fois sur le montant. Si vous avez payé plus que ce qu’il peut contenir, le guichetier vous rendra la monnaie.

Entretien.

Vous comptez rouler beaucoup. Voilà quelques conseils.

> Vérifiez avant de partir que la roue de secours est bien à sa place et qu’elle est correctement gonflée. Les routes américaines sont traîtres, parfois bouillantes, et les crevaisons sont nombreuses.

> Gonflez vos pneus régulièrement.

> Si un voyant s’allume (type check ou oil change), faites un tour dans un garage. Ils la scanneront. Cela peut être une erreur (non mise à jour après vidange) ou quelque chose de plus sérieux. Si c’est le cas, contactez immédiatement le loueur. Je reviendrai bientôt sur ce qu’il faut faire en cas de panne ou de crevaison.

Conduite.

La boîte automatique évidemment.

Là aussi, c’est la norme. Les boîtes manuelles (stick shift) que nous connaissons ici sont très rares et il faudra donc s’habituer à ces boîtes automatique. C’est très simple. Seulement deux pédales (accélérateur et frein), pas d’embrayage et plusieurs positions à retenir :

P (comme parking) : à enclencher une fois que vous êtes garés. Les roues motrices sont bloquées et la voiture immobilisée R (comme reverse) : la marche arrière. La voiture recule seule à faible vitesse. N (comme neutral) : notre point mort. La voiture est en roue libre. Utile pour baisser la consommation. A mettre quand on est remorqué. D (comme drive) : pour rouler. La voiture enclenchera elle-même les différents régimes. 1, 2 ou 3 (euh… comme 1, 2 ou 3) : certaines boîtes présenteront ces chiffres, qui vous permettent de vous caler sur une vitesse. Mais pas la peine de se compliquer la vie !

Le Cruise Control.

Voilà un gadget que l’on retrouve maintenant très souvent en Europe, le régulateur de vitesse (ou Cruise Control ). Si avec nos routes parfois sinueuses, il ne trouve grâce que sur l’autoroute, il est vraiment très utile aux Etats-Unis. D’abord pour éviter d’avoir à discuter avec la police, d’autre part pour garder un rythme sur les longues et ennuyeuses lignes droites que vous pourrez empruntez. Le Cruise Control, mon meilleur ami pour traverser le Dakota du Sud et le Texas …

La vitesse.

Autre grande question. C’est simple, vous aurez le choix entre un colossal panel de vitesses (à calculer en mph) qu’il faudra guetter sur les panneaux blancs à typo noire. Dans la plupart des états, la vitesse est limitée 65 miles par heure (104 km/h). Voici un lien qui détaille les limites . Sur les highways et les interstates, vous pourrez sans mal rouler 5mph au-dessus de la limite autorisée. C’est une tolérance, qui s’applique aussi au Québec d’ailleurs. Bon, pour être certain, calez vous sur la vitesse des autres.

Quelques spécificités de conduite.

> Feux de signalisation : la première chose à faire en prenant en mains votre voiture de location, c’est de bien faire attention aux feux. Contrairement à la France, ils se trouvent soit au-dessus de l’intersection, soit carrément de l’autre côté. Alors, ne faites surtout pas comme ici en vous arrêtant au pied du feu. Vous serez au beau milieu de l’intersection !

> « Right Turn on Red » : le « tourner à droite au feu rouge » est autorisé partout aux Etats-Unis, sauf en cas d’indication contraire. En fait, il y a une exception : la ville de New York. Dans Big Apple , il est interdit de la faire sauf si un panneau vous dit le contraire.

> Des voies réservées aux covoiturages ( carpools ) : sur l’autoroute, vous verrez parfois ce panneau. Il indique que la voie de gauche est réservée aux bus ou au covoiturage (ici une voiture est deux personnes ou plus).

> Changement de voie : sur l’autoroute, évitez les changements de files trop nombreux. Cela donne l’impression d’un conduite agressive et peut provoquer des ralentissements. C’est pourquoi il est toléré de doubler par la droite.

> Stop (all ways, 3 ways…) : le stop est très utilisé aux Etats-Unis. En arrivant dessus, il est noté 3 ways (3 stops, 2 routes débouchant sur cette intersection avec un stop) ou all ways . C’est simple : lorsque toutes les rues du carrefour ont un signal stop, la règle de priorité est celle de l’ordre d’arrivée des véhicules. La courtoisie est de mise.

> Panneau « Yield » : c’est l’équivalent de notre « Céder le passage ».

> « One vehicle per green » : c’est un feu gérant le flux. Une voiture (ou une par voie, suivant le panneau) est autorisé à s’avancer.

> Ronds-points : la passion des architectes français ne recueille pas les suffrages outre-atlantique. Très rare.

> Priorité à droite ? : elle n’existe pas aux Etats-Unis.

Questions diverses.

Age de conduite.

Dans la plupart des Etats, il est possible de conduire à partir de 16 ans (il existe dans d’autres des mesures restrictives jusqu’à 18 ans). Mais ça ne vous concerne pas. A noter toutefois que des agences de location refusent des conducteurs de moins de 21 ans… et vous feront payer un supplément (entre 21 et 25 ans). Espère de population à risque, va !

Port de la ceinture et du casque.

Ride free ? Pas vraiment. L’obligation de porter la ceinture s’applique à quasiment tout le pays. La loi, état par état est à cette adresse .

Pour les motards, c’est pareil, le port du casque est réglementée suivant les états. Parfois, il n’y a pas de loi ( Illinois, Iowa ). Parfois, le port s’applique aux moins de 18 ans. Parfois, c’est plus strict. Le point, état par état, est cette fois à cette adresse .

Téléphoner au volant ?

Et le téléphone alors ? La loi est plus souple. 38 états sur 50 ont des lois interdisant ou limitant l’usage. Le point, état par état, est résumé à ce lien . L’accent, à grands renforts de pubs et de messages, est surtout mis sur le texto au volant. Interdit.

Mais sincèrement, pour s’épargner des ennuis, autant mettre sa ceinture et éviter le téléphone, non ?

Faut-il un permis international pour conduire aux Etats-Unis ?

Le permis est capital pour les Américains puisqu’il fait souvent office d’ID (de carte d’identité). Alors faut-il faire un permis international pour pouvoir louer sa voiture et rider en toute tranquillité ? Et bien, pas obligatoirement. Personnellement, je n’en ai jamais eu. Voici la règle affichée par l’office de tourisme des Etats-Unis :

Pour un séjour de moins de 3 mois : – Un permis de conduire français (1 ou 3 volets) datant de plus d’un an suffit pour conduire aux Etats-Unis. La seule exception connue à ce jour est la Floride qui recommande aux citoyens français d’être en possession d’un permis international. – Le/Les conducteurs doivent avoir 21 ans (dans quelques cas 25 ans) pour louer une voiture aux Etats-Unis. – Le permis de conduire international n’est pas obligatoire et il n’est en aucun cas auto-suffisant pour louer une voiture. Dès lors que le temps de séjour dépasse 3 mois, le permis français ne suffit plus et il devient obligatoire de passer le permis de conduire de l’état de résidence. Les lois étant différentes selon l’état, nous vous conseillons de contacter les consulats français des états concernés. Vous trouverez les coordonnées sur le lien suivant : http://www.expatries.org/index.php/Annuaires «

Si vous souhaitez tout de même assurer le coup, la procédure n’est pas difficile. Elle est détaillée sur ce lien .

Y-a-t-il des péages ?

Des routes sans péages, un rêve français ? Oui, les péages ( toll en anglais) sont rares aux Etats-Unis mais ils existent certaines portions payantes. Des bouts d’autoroutes, des ponts, des tunnels, parfois à l’approche des grandes villes… Sinon, c’est gratuit sur plus de 99,9 % du territoire. Voici la liste de tous les péages sur le sol américain .

Il existe des péages au guichet et plus rares (mais vu en Floride), des péages par plaques d’immatriculation. Photo de votre plaque prise par des caméras tout au long de votre parcours. Comment payer ? Ne vous inquiétez pas, votre loueur, qui a votre empreinte de CB, ne vous oubliera pas.

Mais que fait la police ?

La réputation des cops américains et leur intransigeance a dépassé les frontières, via les films ou les séries. Néanmoins, si vous respectez les règles, pas de souci puisque les contrôles de routine, qui existent chez nous, sont très rares à-bas. Pour avoir affaire à eux, il faut être en faute. Les contrôles de vitesse sont nombreux. Sur les interstate, les policiers des Highway Patrol sont souvent bien en vue, garés sur la partie centrale. La police patrouille partout. J’ai vu des voitures au fin fond de zones résidentielles pour bien vérifier le respect des stops. Sachez qu’il est aussi dans les us de dénoncer les conducteurs dangereux (« report dangerous drivers » ou « report violators »). Enfin, des contrôles de vitesse sont effectués par hélicoptère.

Si vous êtes suivis par une voiture de police qui met en marche ses signaux lumineux et sonores, vous devez vous ranger illico sur le bas-côté et rester assis dans sa voiture, les mains sur le volant, en attendant l’ officer .

Enfin, sachez que les amendes que vous pourriez prendre seront logiquement réglées par le loueur qui les répercutera sur votre CB.

Le stationnement, une plaie ?

Oui et non. Non, car dans la plupart des villes, en terme de nombre de places, le stationnement n’est pas un problème. Il existe énormément de petits parkings payants. Certaines villes sont moins bien pourvues (comme San Francisco, Manhattan ) mais d’autres ont des ratios énormes ( Houston , 30 places pour un habitant), héritage d’une stratégie commerciale.

Pourquoi oui alors ? Car les règles pour se garer dans la rue sont complexes, voire complètement nébuleuses pour des Européens. Outre les limitations d’horaires, de jours, il est parfois interdit de se garer de tel ou tel côté de la rue en raison du nettoyage de ces rues (vu à LA). De même, il est interdit de se garer devant des bouches à incendie, dans des courbes (parfois) et trop près des panneaux stop (pas moins de 30 pieds). Donc un conseil, regarder tous les panneaux. Etudiez-les. Si vous avez un doute, abstenez-vous. Regardez le trottoir : s’il est jaune, ne vous garez pas !

Sinon, ne vous étonnez pas dans certaines zones de voir des voitures garées fenêtres ouvertes ou portes ouvertes. Le sentiment de sécurité est tel… Pour vous et vos effets personnels, évitez cela, surtout en ville.

Est-ce fatiguant ou difficile de conduire aux states ?

Un grand non ! Si la route, droite parfois à perte de vue peut s’avérer lassante, la conduite en elle-même est cool, relax, grâce à la courtoisie, au respect des vitesses, au confort. Bien sûr, c’est moins vrai en pleine ville. Mais tout cela est beaucoup moins agressif qu’en France (changements de voies intempestifs, vitesse, klaxon, etc…) et donc moins fatiguant. J’ai déjà roulé 10 ou 12 heures par jour sans tomber comme une masse.

Par contre, attention aux distances ! Les Etats-Unis sont vastes, très vastes (je ne vous apprends rien) et les temps de roulage peuvent être importants. Pour chaque heure de trajet indiqué par le GPS, je compte 1h30 (arrêt photos, pipi, essence…). C’est mon calcul et je ne suis pas mort déshydraté dans le désert du Nevada, c’est que ça doit marcher. Bref, pensez à tout.

Voilà, j’ai fait un bon petit tour de la question. Si je n’ai pas répondu à tout, si je me suis trompé sur un point ou n’est pas été complet, n’hésitez pas à me le demander et je mettrai tout ça à jour. Surtout, bonne route…


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